Tgv. L'impunité pour...les autres

Publié le par sammy rasolo

                             On ne connaît pas réellement les détails pour l'heure mais il semble que c'est pour outrage contre Andry Rajoelina que Ambroise Ravonison, du moins s'il faut croire Sobika, a fait l'objet de cette arrestation. Si ceci se vérifie, on ne peut que donner raison au quotidien, globalement pourtant pro-hat, qui a titré "la Gestapo en action" son article sur ce sujet. La Gestapo était la police politique de l'Allemagne nazie et elle était connue pour sa violence. User de tant de violences pour arrêter quelqu'un qui n'était pas en fuite est particulièrement disproportionné. En tout cas, l'arrestation ne justifiait pas les brutalités contre le personnel de la radio Fréquence Plus et les vandalismes contre ses matériels. Et c'est ce régime qui prétend donner des leçons de démocratie et de droits de l'homme à Amnesty International. Ce n'est pas avec ce genre de pratique que la hat peut espérer regagner la sympathie de la communauté internationale. A moins que le camp Tgv pense qu'il lutte pour une cause perdue d'avance et renonce à gagner la réconnaissance du monde extérieur.

                            En la matière, après toutes les tentatives malhonnêtes qui tendaient à avoir cette réconnaissance, Andry Rajoelina a abattu une de ses dernières cartes maîtresses: ne pas se porter candidat à la prochaine élection présidentielle. Mais la position de la communauté internationale n'a pas changé malgré le soutien empressé de la France à son endroit. Elle continue à réclamer une transition consensuelle et inclusive. Seuls les fayots de son camp ont trouvé un courage exceptionnel dans cette décision de Tgv qui, en fin de compte, n'est qu'un acte de lâcheté. La finalité est plus qu'évidente: échapper au jugement du peuple qui, malheureusement, ne peut exprimer sa désapprobation ou son approbation que par le biais d'une élection. Celui que le camp Tgv n'a pas cessé de diaboliser, par contre, se déclare prêt à se soumettre à ce jugement.


                                                              PEUR DE SE MESURER A RAVALOMANANA

                            Conscient sans doute que l'opinion publique, contrairement à ce qu'il prétend, ne le soutient pas, Andry Rajoelina a manifestement peur de se retrouver face à Marc Ravalomanana dans une élection. Marc Ravalomanana, dès le début, a decidé de ne pas participer à la transition. La raison est simple: il pensait, et pense toujours, se porter candidat à la prochaine élection présidentielle. Andry Rajoelina, pour sa part, a toujours agi et "fonctionné" par rapport à sa peur de se mesurer à Marc Ravalomanana sur le plan électoral. Ainsi, tout au début des négociations , dès qu'il était question du retour de Marc Ravalomanana, il se retira. Avant la conclusion des accords de Maputo, il avait tenté de se défiler pour torpiller la convention qui prévoyait le retour à plus ou moins court terme de l'ancien président. Il avait pretexté la nécessité de consulter sa base. Ensuite, après la conclusion des accords, il a renié de manière unilatérale son engagement pour la même raison et sans doute aussi pour ne pas partager son "pouvoir absolu" usurpé. Après tous ses méfaits qui ont détruit le pays, Tgv espère se retirer tranquillement des affaires publiques en s'abstenant de se porter candidat à l'élection présidentielle. Toutefois, convaincu qu'il ne s'en tirera pas à si bon compte si jamais Marc Ravalomanana revient au pouvoir, il multiplie contre lui les embûches, notamment les condamnations pénales. Le but, contrairement à ce qu'il clame haut et fort, n'est pas du tout le refus de l'impunité mais empêcher la candidature de Marc Ravalomanana. Comment croire à sa sincérité sur la nécessité de faire juger les responsables de la tragédie du 7 février 2009 si lui même, incitateur de la foule, refuse de réconnaître sa responsabilité dans cette affaire ? Comment croire à sa sincerité s'il refuse une enquête internationale, moins impartiale que celle d'un juge malgache manifestement acquis à sa cause ?


                                                               CONCEPTION SELECTIVE DE L'IMPUNITE

                             Il est plus que temps que les "politiciens" (le mot est bien choisi) comme Rajoelina apprennent à être plus responsables dans la manipulation de leurs partisans. On se souvient qu'en 1992, suite à l'avènement de la transition Razanamasy, les assises pour l'élaboration d'un projet de constitution ont été organisées au Capsat, à Soanierana, pour mettre les participants à l'abri des perturbations incessantes des inconditionnels de Didier Ratsiraka et des anti-transition. Les "perturbateurs", malgré les multiples mises en garde, avaient tout de même essayé de pénetrer à l'intérieur du Capsat, un camp militaire. Et il y eut également usage d'armes à feu. Laha Gaston, CSR sous la séconde République, y perdit la vie. Monja Jaona y fut blessé au pied. Et il n'avait pas retrouvé l'usage de ses jambes jusqu'à sa mort. Le ministre de la Défense et le chef d'Etat major de l'époque sont des fervents supporters de Tgv actuellement. Naturellement, en ce temps là, ils estimaient légitime la réaction des forces de l'ordre. Par contre, ils ne voient aucune responsabilité des chefs des insurgés dans la tragédie du 7 février.  Une conception bien sélective de la légitimité du rôle des forces de l'ordre dans la défense des "zones rouges". 

                           En tout cas, actuellement, dans l'arbitraire, la violence, c'est la fuite en avant du côté des tégévistes.  Au nom du refus de... l'IMPUNITE. 

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P
<br /> -<br /> Bonjour.<br /> <br /> S’agissant de Madame Naika Eliane, de Mrs Ambroise, et d’un autre dont le nom ne revient pas, ce sont tous des citoyens français, tous récalcitrants par rapport à la gestion indésirable par leur<br /> pays des destinées de Madagascar. En parlant de INCESTE, il y a qlqs jours, je ne pensais pas être autant dans le mile. Le mot est adéquat. Si la France ne fait pas attention c’est tout l’ensemble<br /> des relations franco-malgaches qui deviendra incestueux. Par ce terme, j’entends des procréations de montres, des discordes familiales pouvant être imprévisiblement brutales. Et si cela arrive, il<br /> faudrait mieux se séparer pendant quelques années, pour se retrouver amoureux comme jadis. Mais cela aura été malheureux, et dommageable à l’image de la France en Afrique, accélérant son accession<br /> en seconde division dans la classe des pays majeurs.<br /> <br /> On a du mal à comprendre la persévérance de la France à soutenir ce régime après multes déconvenues face à quasiment tous les autres pays du monde, au détriment éhontément conscient du peuple<br /> malgache.<br /> <br /> On remarque la serennité de la force tranquille de SEM Ra8 et de la mouvance Madagascar dans leurs interventions. Et de l’autre bord, on constate une désorganisation de fin de règne, marquée par<br /> l’impuissance de joel à mettre les militaires à la barre, et les foyers de grèves de ci de là, et la rébellion de catholiques affirmant un peu plus l’étendue de l’impopularité de joel, et par là la<br /> signification photo-négative habituelle des propos de joel « Si je me présente aux élections, je serais élu ! » Beurk !<br /> <br /> Le joel aura amené la nation à la dérive. Non, pas joel mais l’Autre.<br /> -<br /> <br /> <br />
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P
<br /> Ce texte a atterri dans mes mails e matin. C’est le travail acharné et apparemment de longue haleine d’un quelconque journaliste professionnel, très au fait de la politique étrangère de la France,<br /> et de ses arcanes, appliquées à nos pays. veuillez le confirmer, ou l’infirmer. Il est long, mais instructif ; Alors bon courage !<br /> -<br /> -<br /> 2008-2010 : Dérives dictatoriales en Françafrique<br /> Si pendant plusieurs dizaines d’années, la France a placé des dictateurs affidés à la tête de ses anciennes colonies africaines, procédant selon les cas par l’assassinat des dirigeants élus ou par<br /> l’organisation de coups d’États militaires, la situation a nettement évolué ces dernières années.<br /> -<br /> Au cours des années 90, le nouveau contexte international (chute du mur de Berlin, discours de La Baule, développement du multipartisme) a poussé les dictateurs africains à faire quelques efforts<br /> de démocratisation de façade. Mais à l’exception de certains pays qui sont parvenus à instaurer une véritable démocratie, aidés en cela par le faible intérêt qu’ils présentaient pour l’ancienne<br /> puissance coloniale en termes de ressources naturelles (comme le Mali, ou encore le Bénin), la plupart sont restés sous la coupe de dirigeants autoritaires et corrompus que la France continue à<br /> soutenir bon gré mal gré, mais de manière moins grossière.<br /> -<br /> Pour ce faire, les validations, voire les soutiens logistiques à l’organisation d’élections truquées ont peu à peu remplacé les coups de force et les escouades de mercenaires. Sur ce plan, les<br /> premières années du mandat du président Nicolas Sarkozy ont été marquées par un silence complaisant, voire parfois par un soutien affiché à l’égard d’un certain nombre de graves reculs de la<br /> démocratie en Afrique.<br /> -<br /> Le soutien systématique de la France aux réélections frauduleuses des dictateurs historiques du continent<br /> En terres africaines, la France se distingue par son soutien à des processus électoraux pour le moins douteux, notamment dans des régimes autoritaires où les scrutins visent non pas l’exercice de<br /> la souveraineté populaire, mais le maintien en place et la légitimation de l’oligarchie au pouvoir.<br /> Dans ce cas de figure, les conditions minimales nécessaires à l’organisation d’un scrutin régulier et transparent sont rarement réunies, ce qui pousse l’opposition à refuser de prendre part à ces<br /> mascarades, quant elle n’est pas arbitrairement exclue du processus électoral (arrestations massives, refus de validation des candidatures pour des motifs fallacieux etc.). Mais la France ne semble<br /> pas s’embarrasser de ce genre de « détails ».<br /> Ainsi, en Algérie ou en Tunisie, les scores staliniens respectivement obtenus par Abdelaziz Bouteflika en avril 2009 et Zine El Abidine Ben Ali en août de la même année, tous deux réélus à la tête<br /> de leur pays avec près de 90% des voix alors que les principaux opposants avaient été empêchés de se présenter ou avaient boycotté le scrutin, n’ont manifestement pas perturbé les autorités<br /> françaises. Elles n’ont en effet rien trouvé à redire à ces élections et se sont empressées d’en reconnaître les vainqueurs.<br /> Au Congo-Brazzaville, les nombreuses critiques émanant de l’opposition (dont une partie a également préféré boycotter le scrutin) mais aussi de l’Union Européenne, dénonçant le manque de fiabilité<br /> des listes électorales, la partialité de l’appareil administratif, ou encore l’absence de contrôle des urnes, n’ont pas non plus chiffonné la France. Le résultat de la présidentielle de juillet<br /> 2009 fut d’ailleurs révélateur de ces conditions d’organisation désastreuses. Car si Denis Sassou Nguesso a eu le triomphe plus modeste que ses collègues maghrébins, il a tout de même obtenu un<br /> score douteux de 78 % des voix dès le premier tour.<br /> La France, championne de la légitimation de putschs et de la normalisation de situations d’exceptions<br /> Outre les récurrentes réélections frauduleuses de ces dictateurs inamovibles, la France s’accommode également régulièrement du renversement d’un président légitime et de l’organisation d’une<br /> mascarade électorale visant à prendre sa place en toute impunité et en violation flagrante de la Constitution du pays.<br /> Ainsi, au Gabon, l’ensemble des journalistes, opposants, société civile, universitaires, politiques et même responsables du régime de feu Omar Bongo (38 ans de règne à la tête du Gabon),<br /> s’accordaient à dire qu’on ne pouvait envisager un scrutin transparent sans, au moins, une révision des listes électorales. Malgré tout, la France a soutenu sans conditions le fils Bongo dans sa<br /> course contre la montre pour organiser un scrutin le plus rapidement possible, empêchant ainsi une telle révision, et privant les opposants du temps nécessaire à l’organisation de leur campagne. Le<br /> scrutin fut donc organisé dès le mois de septembre 2009, soit à peine trois mois après le décès du dictateur paternel. En outre, ni le choix d’un scrutin à un seul tour, ni les innombrables<br /> irrégularités qui ont entaché le vote (bourrages d’urnes, usage de fausses cartes d’électeurs, falsification des procès-verbaux des bureaux de votes), ni le fait que, pour finir, la CENI puis la<br /> Cour Constitutionnelle aient validé l’élection d’Ali Bongo (qui serait en réalité arrivé en 3e position) n’ont déran-gé outre mesure les autorités françaises...<br /> En Mauritanie, la France n’a rien trouvé à redire non plus au fait que le général putschiste Mohamed Ould Abdel Aziz (auteur du coup d’État contre le président légitime Sidi Ould Cheick Abdallahi<br /> en aout 2008) se présente à l’élection présidentielle de juillet 2009, élection pourtant organisée par une administration qu’il a lui-même mise à sa botte via des nominations à de nombreux<br /> postes-clés. Ce clan putschiste aux commandes de l’État a ainsi pu truquer massivement les listes électorales et gêner considérablement le gouvernement d’union nationale chargé d’organiser le<br /> scrutin. En outre, la diplomatie française a exercé une pression non négligeable pour pousser l’opposition mauritanienne à participer à un scrutin ne remplissant pourtant aucun des critères<br /> élémentaires d’équité et de transparence. La France s’est en effet arrogé le rôle de leader au sein du Groupe International de Contact sur la Mauritanie, amenant ses partenaires à soutenir son<br /> souhait d’organiser très rapidement une élection présidentielle (dans des délais inférieurs aux minimums prévus par la Constitution mauritanienne) malgré les mauvaises conditions du scrutin<br /> évoquées plus haut.<br /> A Madagascar, les autorités françaises jouent à peu après le même jeu en soutenant le putschiste Andry Rajoelina (auteur en janvier 2009 d’un coup d’État contre le président démocratiquement élu<br /> Marc Ravalomanana), y compris lorsque celui-ci sabote les accords qu’il a lui-même signés après avoir négocié avec le président renversé et deux autres parties, sous l’égide de la communauté<br /> internationale. Or ce revirement du gouvernement de transition vise vraisemblablement à préparer l’organisation unilatérale d’une prési-dentielle en 2010. Là encore, la France ne voit visiblement<br /> pas d’incohérence à soutenir la candidature d’un putschiste, ce qui entérinerait le coup d’État qu’elle continue pourtant par ailleurs à condamner officiellement.<br /> De la même manière, en Guinée, les autorités françaises furent les premières à légitimer le coup d’État perpétré par le capitaine Moussa Dadis Camara à la mort du dictateur Lansana Conté en<br /> décembre 2008. Alors que les militaires avaient annoncé la constitution d’un gouvernement de transition chargé d’organiser des élections dont ses membres seraient exclus, la France ne souffla mot<br /> lorsque le militaire putschiste revint sur ses engagements et annonça son intention de se présenter finalement à l’élection... Jusqu’à ce que cette junte irresponsable et criminelle perde toute<br /> crédibilité lors des massacres du 28 septembre 2009 qui firent plusieurs centaines de morts dans un rassemblement organisé par l’opposition et la société civile pour protester contre cette<br /> candidature, et que le capitaine Dadis soit à son tour victime d’une tentative d’assassinat qui l’écarta du pouvoir, sans doute définitivement.<br /> Enfin, le cas du Niger est également révélateur de l’attitude de la France qui fait bien peu de cas des processus démocratiques en Afrique, tant que ses intérêts économiques et stratégiques y sont<br /> préservés. Le Niger abrite en effet d’immenses réserves d’uranium, qui en font le deuxième producteur mondia. Le président français s’y est d’ailleurs rendu en mars 2009, en compagnie de la<br /> présidente du directoire d’Areva, Anne Lauvergeon. Au menu des discussions, la signature par le géant français du nucléaire d’un contrat d’exploitation sur 30 ans de la gigantesque mine<br /> d’Imouraren.<br /> Or ce pays qui comptait parmi les rares « laboratoires de la démocratie » en Afrique de l’Ouest a finalement été rattrapé par les dérives autocratiques qui menacent les pays africains détenteurs de<br /> ressources stratégiques abondantes (uranium, pétrole...). Ces ressources représentent en effet une gigantesque manne financière qui a tendance à aiguiser les appétits personnels des autorités<br /> politiques. Ainsi, à l’approche de la fin de son deuxième et dernier mandat autorisé par la Constitution, le président Mamadou Tandja enclenche au début de l’été 2009 un processus visant à se<br /> maintenir au pouvoir. Pour ce faire, il tente de faire passer en force une réforme constitutionnelle, finalement adoptée<br /> <br /> <br />
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S
<br /> <br /> Bonjour !<br /> <br /> <br /> Si je ne me trompe pas, c'est un article d'un journaliste du site de l'association "Survie" qui a été réactualisé. C'est une association qui lutte contre la "francafrique". J'ai déjà cité cet<br /> article, il y a quelques mois.  Les contradictions de la politique de la France vis à vis de la crise malgache sont connues de tous. Par les autres pays de l'Union Européenne mais également<br /> par les Etats-Unis. Je ne pense pas que la France va gagner à ce petit jeu.<br /> <br /> <br /> <br />
P
<br /> Le hat est engagé de fait dans une impasse, ils sont allés trop loin dans les manipulations pour les effacer des ardoises, pour se les faire pardonner. Ils ne sont pas allés assez loin pour<br /> parvenir à leurs fins. Ils sont quelque part entre 2 points « stables ». Aussi, tant qu’à faire, ils vont continuer une fuite en avant, qui est la seule voie pour l’établissement de leur cause<br /> égoïste à Madagascar. On sait aujourd’hui que la Communauté internationale est désormais dans une position extrêmement rigide, il reste au hat à . . . normaliser s’ils sont assez réalistes et sans<br /> parler d’humanisme. Cela sous-entend des pertes de pouvoir, et d’immunités ! Oui car ils se révèleront être les 1ers responsables des massacres. Pour ce éviter, la 1ère solution est de garder tout<br /> le pouvoir indéfiniment par la force des répressions intimidantes, comme ils le font aujourd’hui. Mais, ils ne pourront faire cela indéfiniment, la grogne populaire se faisant de + en + pressante,<br /> jusqu’à éclater un demain. Ce jour-là, la France aura fort à faire pour garder les relations saines.<br /> <br /> Ce qui est vraiment ahurissant ce jour, c’est l’opinion du Président Abdulah WADE quand à la personnalité des tas de joel : il lui conseille carrément de revenir sur les bancs des écoles US pour 10<br /> ans ! Pas français, non : US ! C’est ce joel-là que la politique étrangère hexagonale veut mettre au bout de ses ficelles marionnettistes. Le joel est nul à ce point ! Oïez bonnes gens !<br /> <br /> <br />
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A
<br /> Comment se fait-il que tout ce qui se passe aujourd'hui suscite toujours l'étonnement et l'indignation de tous et de chacun.<br /> <br /> Andry TGV est dans sa ligne de conduite comme il l'a toujours fait. Il est fidèle à lui même.Il défend chèrement ses acquis. Cela ne devrait plus surprendre.<br /> <br /> Ce qui étonne par contre c'est cette passivité citoyenne assez déconcertante et en même temps incompréhensible. Arriver à un tel degré de violence, de répression, on s'attendrait plus à autre<br /> chose. Pourtant, pour moins que ce qui se passe actuellement, cette "citoyenneté" était bien en "verve" il y a encore un peu plus d'un an.<br /> <br /> Que Andry TGV soit sélectif dans sa mémoire et dans ses resposabilité, etc., c'est compréhensible et c'est logique même si l'on a bien suivi ses démarches.<br /> Par ailleurs, au bilan de Andry TGV depuis ce rapt de la République, tout citoyen responsable devrait être conscient de la déroute de ce pays. Sauf que, la citoyenneté est tout autant sélective<br /> quand il s'agit de la mémoire et de la responsabilité. Versatile, dit-on chez les avara-pi...<br /> <br /> <br />
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O
<br /> TRES BIEN DIT UNE FOIS DE PLUS. BRAVO A VOUS ET MERCI !<br /> <br /> <br />
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